Entre nous
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


ici on discute de tout et de rien
 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -45%
WHIRLPOOL OWFC3C26X – Lave-vaisselle pose libre ...
Voir le deal
339 €

 

 Il cesse de s'alimenter pour pouvoir continuer à fumer

Aller en bas 
AuteurMessage
nath
Administratrice
Administratrice
nath


Féminin Nombre de messages : 1386
Age : 40
Localisation : Bourg Les Valence (Drôme)
Emploi/loisirs : conseiller clientèle, séries tv, internet, jeux
Humeur : bof
Date d'inscription : 25/01/2008

Il cesse de s'alimenter pour pouvoir continuer à fumer Empty
MessageSujet: Il cesse de s'alimenter pour pouvoir continuer à fumer   Il cesse de s'alimenter pour pouvoir continuer à fumer EmptyMer 30 Jan - 20:39

Jacques Martinat déterminé à aller jusqu'au boutLe gérant d'un café de l'Allier proteste contre l'interdiction de fumer dans les lieux publics. Pour lui, une loi "aberrante" qui va tuer les petits commerces.


Ses soupirs répétés dans le combiné reflètent la nostalgie des soirées où jeunes et moins jeunes se retrouvaient autour d'une table pour boire un verre et jouer aux cartes. Ils évoquent aussi la fatigue d'un homme en grève de la faim. Jacques Martinat, gérant d'un café d'un village de l'Allier, dit avoir cessé de s'alimenter depuis le 21 janvier pour dénoncer l'interdiction de fumer dans les lieux publics qui entraîne, selon lui, une baisse de fréquentation de son établissement.

L'Auberge de la Bohême, le bar dont il s'occupe, est le seul de Maillet, bourgade de 360 habitants située à une vingtaine de kilomètres de Montluçon. Outre des boissons, on y trouve la presse, un dépôt de pain, des plateaux-repas livrés tous les jours pour les personnes âgées. Et surtout cette convivialité que Jacques Martinat évoque sans relâche comme pour mieux revivre ces instants perdus.

"Cette convivialité, ils ne la retrouvent plus"

"Jusque là, fumeurs et non fumeurs se côtoyaient sans problème, soupire l'homme. Tout le monde se retrouvait avec plaisir pour une partie de belote, une partie de baby-foot, une partie de billards. Ces soirées conviviales du samedi soir et du dimanche soir se font de moins en moins. Personne n'a envie d'entamer une partie de belote et d'être obligé toutes les 20 minutes de sortir fumer une cigarette."

Selon le gérant, certains soirs, il y avait jusqu'à 50 personnes dans le bar. Actuellement, ils sont une vingtaine "au maximum". "C'est normal, cette convivialité, ils ne la retrouvent plus", explique Jacques Martinat. Depuis l'entrée en vigueur de la loi anti-tabac, son chiffre d'affaires a, selon lui "baissé de 30 à 40%".

Pour sauver l'ambiance de L'Auberge de la Bohême, mais aussi tous les petits commerces dans le même cas, Jacques Martinat compte bien se battre. "Il faut qu'on nous laisse le libre choix d'être fumeur ou non fumeur dans les cafés en campagne comme celui-ci", affirme-t-il. "D'ailleurs, les non-fumeurs ne fréquentent pas davantage l'endroit depuis la loi", relève-il. Et de s'emporter : "C'est une loi aberrante qui tue les petits commerces dans les petits villages". Ses soupirs évoquent aussi ceux d'un fumeur, bien déterminé à aller jusqu'au bout.


Les buralistes bientôt reçus par Sarkozy
René Le Pape, président de la Confédération des Buralistes, a indiqué à l'AFP qu'une délégation de son organisation et de buralistes ruraux sera reçue à l'Elysée par le chef de l'Etat. "Nous avons une ouverture et le dialogue avec les pouvoirs publics est en train de se recréer. (...) On le met en place car il (le président de la République) veut que je lui présente des buralistes de zones rurales. Je prends acte que le président souhaite nous rencontrer et j'espère qu'on aura une solution de déblocage et qu'on pourra ouvrir les négociations", a-t-il dit. Nicolas Sarkozy a promis le 18 décembre de recevoir les débitants de tabac des zones rurales et de faire le bilan des mesures d'accompagnement pour l'ensemble des débitants, touchés par l'interdiction de fumer dans leurs établissements.
Revenir en haut Aller en bas
 
Il cesse de s'alimenter pour pouvoir continuer à fumer
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» 7.800 euros pour un chapeau de Mitterrand, 8.000 pour sa robe d'avocat
» Il escroque les CAF pour 300.000 euros

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Entre nous :: Discussion générale :: Actualités Divers-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser