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 Les assises pour l'élève accusé d'avoir poignardé sa prof

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nath
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MessageSujet: Les assises pour l'élève accusé d'avoir poignardé sa prof   Les assises pour l'élève accusé d'avoir poignardé sa prof EmptyMer 27 Fév - 12:53

Le procès de Kévani Wansale, 20 ans, accusé d'avoir poignardé sa professeure en plein cours en 2005 au lycée Louis-Blériot, à Etampes, s'ouvre mercredi aux assises d'Evry.
Pour l'accusation, il y a eu tentative d'homicide volontaire avec préméditation, fait passible de la réclusion criminelle à perpétuité.



Lycée Louis-Bleriot, à Etampes, dans l'Essonne, le 16 décembre 2005. Kévani Wansale est élève en BEP-vente. Ce jour là, il se trouve au premier rang de la classe. Son professeur d'arts appliqués, Karen Montet-Toutain, lui demande de retirer son blouson et son bonnet. Le ton monte, l'élève lui reproche d'avoir dit "n'importe quoi" à sa mère sur son comportement, se lève et lui porte plusieurs coups de couteau, dont l'un la blesse très grièvement au ventre. Après son geste, l'élève prend la fuite en escaladant le mur d'enceinte du lycée, avant de se rendre en RER à Grigny, où il se débarrasse de son couteau en le jetant dans un lac. Après avoir passé la nuit chez un ami, il se rend finalement le lendemain vers au commissariat d'Etampes, où il aurait reconnu les faits. Le jeune homme de 20 ans comparaît à partir d'aujourd'hui devant les assises d'Evry.

Qualifiant les faits de tentative d'homicide volontaire avec préméditation, passibles de la réclusion criminelle à perpétuité, l'accusation s'appuie sur différents témoignages de camarades de l'accusé accréditant la thèse d'un geste préparé. Propos en partie contestés, sur lesquels il s'expliquera à l'audience, selon son avocat Me Damien Brossier.

Peu avant les faits, Kévani Wansale avait été exclu une semaine en raison d'une altercation avec un enseignant. Après avoir été convoquée la veille des faits par Mme Montet-Toutain, professeure principale, la mère du lycéen l'avait réprimandé, en lui indiquant qu'un conseil de discipline était envisagé, et qu'il risquait d'être exclu définitivement de son lycée professionnel. Il a expliqué s'être rendu au lycée avec un couteau dans l'intention de s'ouvrir les veines, avant de se raviser. Il avait affirmé avoir voulu impressionner son enseignante en sortant son arme, et que le premier coup était parti tout seul.

Sans casier judiciaire, Kévani Wansale a connu une enfance difficile, des changements de domicile fréquents. Il s'était jusque-là fait remarquer pour des problèmes de discipline, mais pas pour des faits de violences. Me Brossier prédit un "procès compliqué" pour des "faits simples", insistant sur la dimension psychologique et la part d'irrationnel de cet acte, commis devant de nombreux témoins.

Le conseil de l'enseignante, Me Koffi Senah, déplore quant à lui l'absence de l'Education nationale au procès, que sa cliente avait mise en cause, et le fait qu'un rapport de l'Inspection générale, qui concluait à l'absence de faute de la part de la hiérarchie, n'ait pas été versé au dossier. "Il y a un pan des débats qui sera altéré", juge-t-il. "Elle se sentait en difficulté, il y avait des menaces. Les appels au secours n'ont jamais reçu de réponse", selon lui. Dans un courrier électronique adressé à l'inspection académique 10 jours avant les faits, Mme Montet-Toutain écrivait notamment qu'elle ne se sentait plus en sécurité.

Actuellement en arrêt maladie pour six mois, elle est toujours titulaire et a formulé le voeu de reprendre l'enseignement, mais sa hiérarchie n'a pas donné suite, selon Me Senah. Après son agression, une incapacité totale de travail (ITT) de quatre mois lui avait été délivrée. Une expertise psychiatrique fait état d'une "réaction névrotique anxio-dépressive majeure".
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MessageSujet: Re: Les assises pour l'élève accusé d'avoir poignardé sa prof   Les assises pour l'élève accusé d'avoir poignardé sa prof EmptyJeu 28 Fév - 16:29

L'accusé demande pardon à sa professeur poignardée


Au premier jour de son procès, Kévani Wansale, accusé d'avoir poignardé une de ses prof de lycée en 2005, a demandé pardon à la victime.
L'accusé encourt la réclusion criminelle à perpétuité.



Au premier jour de son procès devant les assises de l'Essonne mercredi, Kévani Wansale, accusé d'avoir poignardé une de ses prof de lycée, le 16 décembre 2005 à Etampes, a demandé pardon à la victime et à sa famille et a raconté ce qui l'avait poussé à commettre ce geste. La veille, le 15 décembre, sa mère est convoquée par Karen Montet-Toutain, sa professeur principale, qui lui explique que Kévani, qui avait été exclu pendant une semaine, risque de passer en conseil de discipline. Sa mère, décrite comme directive et autoritaire, le sermonne vertement, lui reprochant un "comportement de voyou".

Le jeune homme, qui a connu un parcours personnel et scolaire chaotique, part alors dans sa chambre. "Je suis resté à ruminer", a-t-il dit. Puis il se rend dans la cuisine, et prend avec lui un couteau muni d'une lame de 20 centimètres. Le jour des faits, veille des vacances de Noël, il arrive en retard, et manque le premier cours de la journée. "Je suis parti aux toilettes, j'ai sorti le couteau. Je savais que j'allais faire quelque chose avec", a-t-il raconté. "Je pensais à me faire du mal, je ne savais pas trop."

Sur ses propos rapportés par ses camarades de classes, accréditant la thèse d'un geste prémédité, il s'est aussi montré plutôt vague. "Il fallait que ça sorte. Toutes les tensions de ces dernières années s'étaient accumulées j'étais perturbé", a-t-il dit, alors que son père est mort, vraisemblablement sous la torture, au Zaïre, et que sa mère a été incarcérée à deux reprises en France. Le jour de l'agression, assis au premier rang de la classe, et non au fond comme de coutume, il interpelle l'enseignante sur l'entrevue qu'elle a eue avec sa mère. Le ton monte. Il lui porte un premier coup de couteau, un deuxième la fait tomber à terre.

"Aujourd'hui, je pense qu'elle voulait m'aider. Je ne m'en suis pas rendu compte. Mme Montet-Toutain a fait beaucoup de choses pour beaucoup d'élèves", a-t-il poursuivi, provoquant des pleurs. "Je regrette sincèrement. J'ai fait du mal à beaucoup de personnes", a-t-il dit ajoutant : "Je vous demande pardon, à vous, à vos enfants, à votre famille".

L'enseignante, aujourd'hui âgée de 29 ans et enceinte d'un troisième enfant, a elle raconté avoir vu son élève "soulever son sweat-shirt". "Je n'ai pas vu ce qu'il avait dans la main", a expliqué la jeune femme. "J'ai relevé la tête, j'ai vu Sofiane", un élève de la classe, "le couteau, et Kévani qui menaçait Sofiane", qui voulait s'interposer. "Tous les élèves sont sortis, je me suis retrouvée par terre, il s'est acharné contre mon bras. Je me suis relevée, je me suis réavancé devant lui pour que Sofiane ne soit pas atteint." "C'était volontaire, direct, franc et violent", a-t-elle dit à propos des coups de couteau. L'accusé encourt la réclusion criminelle à perpétuité. Initialement prévu jusqu'à vendredi, le procès devrait être prolongé jusqu'à samedi.
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MessageSujet: Re: Les assises pour l'élève accusé d'avoir poignardé sa prof   Les assises pour l'élève accusé d'avoir poignardé sa prof EmptyVen 29 Fév - 19:58

Prof poignardée : vif échange entre le mari et un élève


Un échange tendu a eu lieu vendredi au procès de Kévani Wansale, entre un élève qui avait tenté de s'interposer et Frédéric Toutain, le mari de l'enseignante poignardée à Etampes.
"Notre vie c'est une vie de merde maintenant, et toi, tu nous laisses là-dedans !", a-t-il hurlé sur l'élève qui rechignait à témoigner.


A l'époque des faits, l'affaire avait choqué. Deux ans plus tard, devant les assises de l'Essonne, 'ambiance reste tendue. Vendredi, un échange tendu a eu lieu au procès de Kévani Wansale, entre un élève qui avait tenté de s'interposer et Frédéric Toutain, le mari de l'enseignante poignardée le 16 décembre 2005 au lycée Louis-Blériot d'Etampes (Essonne). L'échange a eu lieu après une audition difficile, où Sofiane, camarade de classe de l'accusé, a rechigné à évoquer les faits, se montrant avare de mots. Frédéric Toutain s'est levé et s'est approché à quelques centimètres du jeune homme.

Il l'a sommé d'évoquer l'échange qu'ils avaient eu lorsque le jeune homme s'était rendu à l'hôpital pour prendre des nouvelles de sa prof, et durant lequel il avait remercié l'élève d'être intervenu. "On avait eu une discussion d'homme à homme. Je t'ai dit merci. Tu m'as dit qu'on aurait jamais dû faire ça à cette femme, que Mme Montet-Toutain, c'était quelqu'un de bien. Regarde-moi, t'es sûrement quelqu'un de plus dur que moi !", a-t-il hurlé. "T'es venu parce que t'avais un coeur, des convictions", a-t-il tonné, avant de poursuivre : "Regarde-moi ! Regarde-moi ! Notre vie c'est une vie de merde maintenant, et toi, tu nous laisses là-dedans !".

"Je sais pas trop quoi dire. Je me rappelle plus très bien", a répété l'élève en se dandinant, les yeux tantôt vers le sol, tantôt vers le plafond. Tout juste a-t-il consenti à confirmer du bout des lèvres ses déclarations lors de l'enquête, durant lesquelles il avait qualifié son camarade de "lâche". "C'est pas bien ce qu'il a fait ce jour là", a-t-il murmuré. L'accusé avait tenté d'atteindre son camarade d'un coup de couteau circulaire, mais celui-ci n'avait pas été touché. Sofiane a dû faire l'objet d'un mandat d'amener, car il rechignait également à venir témoigner devant la cours d'assises. Le réquisitoire est attendu samedi matin, le verdict dans la journée.
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MessageSujet: Re: Les assises pour l'élève accusé d'avoir poignardé sa prof   Les assises pour l'élève accusé d'avoir poignardé sa prof EmptyVen 29 Fév - 20:58

la mère de l'accusé revendique une part de responsabilité

La mère de Kévani Wansale, jugé devant les assises de l'Essonne pour avoir blessé grièvement à coups de couteau sa professeure principale en plein cours le 16 décembre 2005 à Etampes (Essonne), a revendiqué vendredi une responsabilité personnelle dans le geste de son fils, qui comparaît pour tentative d'assassinat.

"Ce qui est arrivé, c'est de par ma faute", déclare Lénia Wansale, cheveux courts, stature imposante dans son ample manteau noir.

"J'ai empêché cet enfant de vivre. J'ai trop empiété dans sa vie. Je l'ai trop chargé, comme une épaule, une béquille pour moi", confesse-t-elle au sujet de son "joyau le plus précieux".

Peu avant les faits, elle est convoquée par Karen Montet-Toutain, qui lui apprend l'exclusion de cinq jours dont son fils a fait l'objet la semaine précédente. L'adolescent avait, lui, parlé à sa mère de journées libérées pour se consacrer à la recherche d'un stage.

Le pot aux roses découvert, sa mère le réprimande vivement et le menace de le "mettre à la porte".

"Je lui ai vraiment cassé les oreilles", dit-elle. Son fils part dans sa chambre. "Quand je parle on n'a pas le droit de se lever. J'ai continué, je l'ai vraiment saoulé", se souvient Mme Wansale.

C'est à la suite de cette vive altercation que Kévani décidera de prendre un couteau dans la cuisine, avec lequel il portera plusieurs coups à son professeur principal, le lendemain. Pour lui, décevoir sa mère, c'était "la fin du monde, comme si le ciel lui tombait sur la tête", détaille-t-elle.

Majeur depuis peu, Kévani souhaitait recevoir lui-même ses bulletins, et que sa mère soit écartée de sa scolarité. Celle-ci le savait, mais explique s'être rendue à la convocation de Karen Montet-Toutain qui l'avait appelée sur son portable.

"Pourquoi la directrice et l'école n'ont pas respecté" son "choix ", se défausse-t-elle sur l'établissement scolaire, bien que son fils lui ait dit de "ne pas y aller".

"Vous avez parlé de votre histoire, pas de Kévani pendant les vingt premières minutes de votre déposition", lui fait observer Me Damien Brossier, avocat du jeune homme. Affirmant avoir mal saisi ce qu'on attendait d'elle, elle explique que c'était "pour prouver d'où vient le problème de Kévani, et que ça vient de loin, depuis sa naissance".

Placé à de nombreuses reprises, il n'a pas connu son père, mort sous la torture au Zaïre avant sa naissance et l'exil de sa mère.

Pour ses enseignants comme pour ses camarades, le jeune homme s'appellait Dolorès, son deuxième prénom, choisi par sa mère en référence aux maux qu'elle a subi avant, pendant et après sa grossesse.

"Ces douleurs, ce sont les vôtres", observe Me Brossier.

"Je m'appuyais beaucoup trop sur lui , je l'ai trop chargé", répète-t-elle.

Depuis l'incarcération de son fils, Lénia Wansale affirme avoir fait trois tentatives de suicide et un séjour en hôpital psychiatrique.

Se référant aux abondantes injures que Lénia Wansale avait proféré contre les policiers à la suite de la condamnation de son fils en mars 2007 pour un incident survenu en détention, le président Francis Debons lance un avertissement: "Je demande à tous de garder la réserve qui doit être de mise en pareil cas, et que cette audience se termine dans des conditions acceptables." Le verdict est attendu samedi.

Dans son box, Kévani a gardé la tête baissée, et séché ses larmes avec un mouchoir donné par un gendarme de son escorte.

Il dira simplement: "C'est ma mère, c'est tout."
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MessageSujet: Re: Les assises pour l'élève accusé d'avoir poignardé sa prof   Les assises pour l'élève accusé d'avoir poignardé sa prof EmptySam 1 Mar - 18:35

15 ans requis contre l'élève

Kévani Wansale est accusé de tentative d'assassinat pour avoir poignardé en plein cours son enseignante au lycée Louis-Blériot en décembre 2005.
Le verdict est attendu dans la journée.


Quinze ans de réclusion criminelle ont été requis samedi devant les assises de l'Essonne contre Kévani Wansale, accusé de tentative d'assassinat pour avoir poignardé en plein cours son enseignante Karen Montet-Toutain le 16 décembre 2005 au lycée Louis-Blériot d'Etampes. Dans son réquisitoire, l'avocate générale Karine Vermès s'est attachée à démontrer la "volonté de tuer", qui apparaît selon elle comme une "évidence" et la préméditation, rappelant les déclarations de Kévani Wansale rapportées par des camarades de classe.

"J'ai la rage, Mme Montet a dit plein de trucs à ma mère et j'ai la haine. Je vais faire un truc de ouf", aurait-il dit peu avant les faits. "La prof, je vais la schlapper" ("planter", poignarder, NDLR), aurait-il également dit quelques minutes avant son geste. "Il la plante dans le ventre, avec son couteau. Il s'acharne, elle se protège, il continue", a déclaré Karine Vermès. La représentante du ministère public a décrit un "geste résolu", argumentant qu'"à aucun moment" il n'avait exhibé son couteau avant de porter les coups sur Karen Montet-Toutain. Selon Karine Vermès, si celle-ci est "miraculeusement vivante", "sa vie est devenue un enfer", "sa vie semble avoir été détruite".

La veille des faits, l'enseignante avait convoqué la mère du jeune homme, aujourd'hui âgé de 20 ans, pour évoquer des problèmes de discipline et une exclusion temporaire de l'établissement la semaine précédant les faits. Le lycéen avait été vertement réprimandé par sa mère, qui l'avait menacé de le renvoyer du domicile familial. Il s'était emparé le soir même d'un couteau de cuisine muni d'une lame de 20 centimètres, avec lequel il a poignardé le lendemain matin son enseignante d'arts appliqués.

La plaidoirie de la défense était en cours en fin de matinée. Le verdict est attendu dans la journée.
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MessageSujet: Re: Les assises pour l'élève accusé d'avoir poignardé sa prof   Les assises pour l'élève accusé d'avoir poignardé sa prof EmptySam 1 Mar - 20:31

13 ans de réclusion pour l'élève


Kévani Wansale a été reconnu coupable de tentative d'assassinat pour avoir poignardé en plein cours son enseignante en décembre 2005, à Etampes.


A l'énoncé de ce verdict lourd, les soeurs et la mère de l'accusé sont restées sans bouger sur les bancs de la salle des assises, en pleurant. Kévani Wansale a été condamné samedi à 13 ans de réclusion criminelle par la cour d'assises de l'Essonne, qui l'a reconnu coupable de tentative d'assassinat pour avoir poignardé son enseignante Karen Montet-Toutain le 16 décembre 2005 au lycée Louis-Blériot d'Etampes. Peu avant, devant la cour, il avait dit son regret.
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